CoussiĂšge
Banc insĂ©rĂ© dans l’embrasure d’une fenĂȘtre par un ressaut de la baie. Forme trĂšs courante dans les constructions mĂ©diĂ©vales. Il permettait de profiter pleinement de la lumiĂšre extĂ©rieure pour la lecture ou les petits travaux.
Banc insĂ©rĂ© dans l’embrasure d’une fenĂȘtre par un ressaut de la baie. Forme trĂšs courante dans les constructions mĂ©diĂ©vales. Il permettait de profiter pleinement de la lumiĂšre extĂ©rieure pour la lecture ou les petits travaux.
Mur reliant deux tours.
Voûte hémisphérique élevée sur un plan circulaire, carré, hexagonal, octogonal ou elliptique.
L’usage de couleurs dans la liturgie est rĂ©glementĂ© depuis le traitĂ© d’Innocent III (1198-1216)mais son application gĂ©nĂ©ralisĂ©e ne date vraiment que du XIVĂšme siĂšcle. Le vert sert pour les cĂ©rĂ©monies et fĂȘtes du Temps ordinaire. Le noir est la couleur obligatoire du deuil. Le violet est aussi couleur de deuil et remplace le noir depuis Vatican II. Le rouge, matĂ©rialisĂ© par les langues de feu de la PentecĂŽte et le sang du sacrifice est la couleur des cĂ©rĂ©monies du Saint Esprit. Il sert aussi pour les fĂȘtes des martyrs. Le blanc symbolise la puretĂ©, la lumiĂšre, la joie. C’est la couleur de la fĂȘte. L’or n’est pas une couleur liturgique mais peut remplacer le rouge, le vert et le blanc.
C’est un linge blanc, sacrĂ© et bĂ©nit, en lin ou en chanvre, gĂ©nĂ©ralement de forme carrĂ©e, que l’on place sur un autel pendant la messe et sur lequel repose tout vase contenant le saint sacrement.